Les média réagissent à chaque événement tragique.
Les reporters sont parmi les premiers à venir aux lieux des accidents d’auto, des scènes de violence, des désastres naturels. Ils photographient, tournent, interviewent.
Les journalistes contactent des gens et viennent pour les interviewer des semaines, des mois, des années après la tragédie. Ils couvrent les procès judiciaires ou les anniversaires mémorables liées à l'événement.
La présentation des situations traumatisant par les média – des crimes de rue, de la violence conjugale, des accidents naturels ou technogènes, de la guerre – évoque des questions morales et professionnelles pour le journaliste.
- Comment représenter la violence dans les média?
- Comment et sur quoi questionner les victimes?
- Comment montrer l'histoire sincèrement et ne pas nuire aux spectateurs?
- Comment garder l'état moral et quiétude en couvrant de trauma?
- Exprimer / pas exprimer les émotions?
Les réponses à ces questions exigent des connaissances définies et leur pratique. En présentant la violence et ses victimes, les journalistes se heurtent au problème que les psychologues, les spécialistes de réhabilitation, les chercheurs et les professeurs du journalisme du monde entier s'efforcent de résoudre.
Nous nous'y rallions
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